Quitter la Sécu: La chienlit, c'est lui !

12.5.08

La chienlit, c'est lui !

2 commentaires:

sam a dit...: Une nuance cependant:

Si déjà à l'époque la sécu santé n'avait aucune chance de survivre sans injection d'argent public, au moins cela avait-il un peu de sens vu l'état du pays après la guerre.

Demander aux français de faire des efforts pour les nécessiteux et ceux qui n'ont rien; ils répondaient présent ... comme ils le font aujourd'hui encore!

Mais le monde à changé! Certes il y à toujours des citoyens qui n'ont rien; mais ceux qui profitent du système n'en font pas partie.

Quand de gaulle à mis en place la SECU, je ne doute pas qu'il avait connaissance de ses limites et ses inconvénients; mais il ne pensait surement pas que ses successeurs seraient assez stupides pour la doter de l'éternité plutôt que de faire des choix et d'affronter l'opinion.; 9:00 p.m., mai 14, 2008
Laure Allibert a dit...: Sauf que la SS à l'origine n'était pas pour les nécessiteux, mais pour tous les gens en état de cotiser... La CMU ne date que de 1999.; 10:22 p.m., mai 14, 2008

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« Que sera devenue la moralité de l'institution quand sa caisse sera alimentée par l'impôt ? Les abus iront toujours croissants et on en recalculera le redressement d'année en année, comme c'est l'usage jusqu'à ce que vienne le jour d'une explosion. » (Frédéric Bastiat en 1850)

« Le jour où le marché financier dira "je ne veux plus financer les déficits étatiques", la sécurité sociale aura vécu. Cinq minutes avant que l'URSS fût abandonnée, elle fonctionnait encore comme en 1917. » (Georges Lane en 2007)

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- Le monopole d'un gouvernement ne saurait valoir mieux que celui d'une boutique d'épiceries. La production de la sécurité devient inévitablement coûteuse et mauvaise lorsqu'elle est organisée en monopole. (Gustave de Molinari)

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